Mickaël Henry, chercheur à l’INRA dans l’unité Abeille et Environnement à Avignon a publié une étude sur la sauvegarde des services écosystémiques de pollinisation face à l’intensification agricole.
Il indique notamment: « il semble que l’intensification ne permette pas d’augmenter les rendements chez les cultures les plus dépendantes des pollinisateurs, et que l’intensification diminue la stabilité temporelle des rendements. C’est une situation de compromis, de trade-off, entre l’intensification agricole et la préservation du service ou des services écosystémiques de pollinisation entomophile. »
Cette étude tend par ailleurs à démontrer que les pertes du service de pollinisation à l’échelle locale peut se répercuter à des échelles spatiales supérieur et notamment national, cette échelle étant pertinente pour la prise de décision politique.
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