Après 55 jours de confinement, et donc d’absence de tonte des espaces verts en ville, vous pourrez apercevoir en plein centre de Limoges, la grande mauve (Malva sylvestris), l’achillé (achillea millefolium), la brunelle (Prunella Sp.), la vipérine (Echium vulgare), etc.
Les graines, présentes dans la banque de graine du sol, ont permis en l’absence d’un entretien régulier, de laisser s’exprimer tout un cortège de plantes.
Toutes ces fleurs sont une véritable aubaine pour les pollinisateurs sauvages et le confinement a permis de bousculer quelques mentalités :
« Dans différents parcs et jardins, on réfléchit à une gestion différenciée plus poussée. On va essayer d’entretenir pas plus qu’il ne le faut pour laisser la biodiversité réapparaître, ou garder celle qui est revenue grâce au confinement.« . – Laurent Bray
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